L’AN VERT est une association qui a pour objectif de favoriser l’émulation et la création artistique… C’est un projet en cours de développement auquel nous vous invitons à contribuer en tant qu’acteur ou spectateur.
Spectacles, concerts, expositions, projections de films, danse, expériences en tous genres…
Depuis le mois de mai 2002, L’AN VERT se développe en bord de Meuse dans le quartier d’Outremeuse. L’initiative de ce projet émane d’une poignée d’artistes, se proposant alors d’ouvrir et de mettre à disposition d’artistes plasticiens des espaces créatifs (ateliers temporaires à prix démocratique). Cette orientation a depuis fortement évolué, en s’ouvrant à d’autres idées et formes d’expression artistique. La pratique artistique n’étant pas réservée aux seuls plasticiens, l’idée d’ateliers s’est naturellement élargie à l’ensemble des créateurs : musiques, spectacles, auteurs, danseurs…
Nous vous convions à goûter nos banquets de passions et à partager notre théâtre d’affinités…
L’Apéro des Français de Liège est un rendez-vous informel chaque 2m jeudi du mois
Centre d’Initiative pour une Transition Écologique, L’ASBL est une invitation à l’action collective! L’équipe propose ateliers, chantiers et formations sur 4 thématiques: l’habitat, l’énergie, l’alimentation et la biodiversité.
La Fabrik est un ensemble d’anciens bâtiments industriels transformés en « espaces events ».
Lieu conviviale valorisant des auteurs, des plasticiens et créateurs singuliers.
La Grand Poste, le Totem du district créatif de Liège
Food Market • Brewery • Cowork & More
#Bar #Café #Liège #Carré #Musique #Concert #Rock #Pop #DJ
La Mézon t’accueille du lundi au vendredi dans une ambiance cool et conviviale ! À l’accueil tu peux te détendre, discuter, rencontrer des gens, jouer ( PS4, ping pong, kicker, PC) et proposer tes idées à des animateurs à l’écoute !
La Petite Centrale est une salle de spectacles polyvalente en région hutoise.
Concerts, spectacles,
Le Musée du Silex a.s.b.l.
La Tour d’Eben-Ezer est un monument dédié à la Paix, érigé dès 1950. Elancés vers le ciel, quatre chérubins aux quatre points cardinaux, envoient leur message symbolique au monde. Ses sept niveaux débouchent sur une plateforme entourée aux angles par 4 tourelles surmontées des chérubins.
Elle est construite en pierres de silex, issues des carrières. Son allure brute lui confère un caractère insolite et fantastique. Eben-Ezer est à l’image de Liberté-Egalité-Fraternité grâce à Aimer-Penser-Créer.
Eben-Ezer est le musée de Robert Garcet, chaque salle est animée et fait vivre l’œuvre d’une vie, ses découvertes : ses écritures, sculptures, découvertes, philosophies.
La Tour
D’un caractère insolite et inattendu, la Tour d’Eben-Ezer renferme une symbolique mûrement réfléchie, rien dans sa construction n’est laissé au hasard.
Tels la tour de Babel, les Ziggourats ou encore les donjons du Moyen-âge, les tours ont toujours symbolisé le lien entre les hommes et les dieux. En effet, ces constructions fixent leur encrage dans les profondeurs de la terre et s’élèvent vers le ciel. Elles réalisent ainsi la liaison symbolique entre le Monde Souterrain, la Surface et le domaine des dieux. Par analogie, la Tour d’Eben-Ezer est le moyen donné aux hommes d’atteindre d’autres sphères par le biais de la connaissance.
La tour d’Eben-Ezer représente l’Humanité telle que symbolisée dans la Bible par la Jérusalem Céleste, ville mythique de 12 000 stades de côté ( 2160 km). Disposant d’un espace autrement plus réduit, Robert GARCET conserva néanmoins cette proportion dans son œuvre ; la Tour d’Eben-Ezer fait 12 mètres de côté.
Le Fusil brisé
Le nom même : » Eben-Ezer » fut donné à cette colline par Robert GARCET.
Ce nom est porteur de sens. En effet, c’est selon la Bible l’endroit où Samuel érigea, en 1038 avant JC, une pierre afin de symboliser la paix enfin retrouvée.
La tour d’Eben-Ezer construite à la fin de la seconde guerre mondiale s’érige contre la guerre et toutes formes de violence. C’est pourquoi, chaque année lors du solstice de printemps y flotte une bannière sur laquelle on lit : » … et l’on n’apprendra plus la guerre… « .
Nous ne reprenons ici que quelques exemples de la symbolique de la Tour d’Eben-Ezer. Nous pourrions y consacrer l’entièreté de ce site ; mais tel n’est pas notre objectif… Nous vous invitons plutôt à la découvrir par vous-même au cours d’une visite entre rêverie et mythologie
Expositions, magasin de vins bio, actuellement en sous-sol sur rendez-vous ! Toutes les infos sur https://lavillasauvage.be/
La Zone (Liège)
La Zone est une Maison des Jeunes et un centre liégeois de cultures alternatives qui existe depuis 1988. Elle est située en Outremeuse.
Elle accueille chaque année une large variété de groupes musicaux internationaux et locaux de tous styles, des troupes de théâtre, des artistes de cabaret, des expositions, etc. Citons encore des tables d’hôtes hebdomadaires à prix démocratiques tous les jeudis, des ateliers d’initiation à la sérigraphie ou aux Médias Assistés par Ordinateurs (M.A.O).
Une scène Slam mensuelle très active donne la parole à toutes et tous et est lié à un atelier d’écriture qui permet de se perfectionner à l’expression orale ou écrite.
Présentation
La Zone est un projet politique actif dans le champ culturel qui s’articule autour de 2 axes : la volonté de soutenir, par des processus d’accueil et de coopération, toute initiative portée par des minorités culturelles et permettre à l’ensemble des usagers de s’investir dans une gestion participative des moyens et des lieux de l’association.
À la façon d’un « micro service public », La Zone se donne pour mission de développer un espace d’accueil ouvert à toutes les pratiques collectives où les usagers sont acteurs de leur propre culture tout en reconnaissant la richesse d’autres singularités que la leur et en étant donc capables d’enrichir la construction de leur identité et de leur pratique par des rapports de coopérations, de dialogues et d’échanges.
Nous pouvons qualifier le projet Zone comme axé principalement sur la résistance créative ouverte à toutes les formes d’expression et toujours réceptive aux cultures émergentes dans des rapports de tolérance, de reconnaissance des désirs affinitaires et de garantie d’accès pour chacun.
La Zone veut principalement soutenir la culture active et permettre la mise en œuvre en interne de multiples expériences collectives dans des champs d’action variés. Son objectif prioritaire étant que le projet La Zone reste porté par le plus grand nombre d’usagers en y permettant de multiples entrées concrètes.
Les niveaux de participation pour les usagers sont extrêmement divers et laissés au libre choix de chacun, tout en se fondant sur une série de principes qui ont été pensés pour responsabiliser les usagers, leur donner la possibilité de s’impliquer plus profondément et de devenir de réels usagers actifs et porteurs du projet.
La participation de plusieurs dizaines de personnes, de collectifs, de passionnés de musique, de slam, de cinéma, de cuisine, de créations numériques, de productions artistiques les plus diverses, …, est à la base même du projet, c’est-à-dire : rebondir sur les projets, les envies, les idées, les énergies et aider à leur finalisation; mettre à disposition une infrastructure et des moyens; favoriser une implication à tous les niveaux de gestion, de l’organisation pratique d’événements à l’Assemblée Générale.
Le projet tend à construire une logique de mise en réseaux par l’éclectisme et la transversalité de ses activités, par les rencontres entre différentes cultures, par les collaborations avec d’autres associations de manière à partager les ressources et à échanger les expériences et pour donner de la visibilité à ces démarches.
Reconnue depuis 1988 par la Fédération Wallonie-Bruxelles comme Maison des Jeunes, La Zone reçoit divers subsides pour le fonctionnement et les emplois. Elle dispose d’une infrastructure comprenant une salle de concert, une salle polyvalente, un dortoir, une cuisine, des locaux pour les ateliers, des bureaux, des salles de réunions, etc.
La structure juridique de La Zone est une ASBL dont l’Assemblée Générale est idéalement composée d’usagers actifs et représentative des différents secteurs d’activités de manière équilibrée.
Historique
L’asbl La Zone a été fondée par une troupe de théâtre-action à la fin des années 80. À la même époque, des connivences s’établissent entre l’équipe de la Zone, un nouveau collectif d’organisations de concert (Zone Libre) et un groupe de plasticiens (Trace). De cette rencontre va naître un projet alliant activités théâtrales, musicales et arts plastiques. Ensuite arrive la reconnaissance de la Zone en tant que Maison de Jeunes, et le 17 octobre 1991 a lieu l’inauguration de la salle de concert souterraine.
Le Laser Game est l’activité à la mode de 7 à 77 ans. Celui de Verviers a ouvert ses portes en juillet 1997, le système a bien évolué depuis.
Le Chœur d’hommes de Liège, Société royale des Disciples de Grétry, fondée à Liège le 18 juin 1878, chante depuis plus d’un siècle un répertoire aussi vaste que varié : chant sacré, Gospel, Opérettes, comédies musicales, variété, …
HANNUT:
Une salle attractive de 500m2 accueillant des spectacles de stand-up (Comedy Club) ainsi que des soirées dansantes & corporate. Une jolie mezzanine vous permettra ainsi de passer d’agréables moments et de profiter d’une vue à 180 degrés sur la salle.
BARCHON :
Une salle polyvalente de 550m2, unique dans la région liégeoise, accueillant des spectacles de stand-up (Comedy Show) des soirées dansantes ainsi que des événements associatifs. La salle dispose également d’une surface extérieure afin de vous divertir en configuration Outdoor l’été.
Le Forum est une salle de spectacle liégeoise ouverte le 30 septembre 1922. De style Art déco, la salle est située rue Pont d’Avroy. Le bâtiment est classé au patrimoine exceptionnel de la Région wallonne.
Histoire
Inaugurée en 1922 à l’initiative d’Arthur Mathonet, la salle est dédiée au cinéma, au music-hall et à l’opérette. La salle est reprise en 1929 par la MGM. « La Comilière » (société à la base de la naissance du Forum), fit faillite en 1936. Le duo Masereel-Beckers racheta les lots de terrain dont le Forum faisait partie.
Pendant la guerre cependant, la MGM, aux mains de propriétaires israëlites2, fut écartée de la gestion par les nazis. La MGM ne put reprendre ses activités au Forum qu’en 1947.
Les propriétaires ouvrirent alors Le Churchill (salle existant toujours, dorénavant gérée par le groupe Grignoux), au sous sol du bâtiment. Au terme du bail de la MGM en 1956, M. et Mme Masereel devinrent alors les seuls propriétaires du lieu. Ils cédèrent le bail d’exploitation en 1968 à Hubert Defawes. Au décès de M. Masereel en 1979, sa femme devint seule propriétaire.
En 1968, M. Masereel passa la main et céda le bail d’exploitation à M. Defawes qui devint administrateur-gérant. Monsieur Masereel resta propriétaire. En février 1979, M. Masereel décéda à l’âge de 86 ans, sa femme devint alors propriétaire. Mme Claeys, directrice du complexe Opéra (site et propriétaires depuis à la base du groupe Kinepolis), racheta le bail d’exploitation du Forum en 1984. Suite à un contrôle des services de sécurité communaux, le Forum dut fermer temporairement ses portes. Elle ne rouvrirent qu’en 1989, suite au rachat et à la rénovation par Communauté française de Belgique. La salle et le péristyle furent classés dès 1979, et la façade et l’escalier en 1989 3,4.
Tournages
Le Forum a servi de décor aux scènes de la compétition internationale pour le film Populaire (2012) de Régis Roinsard, avec Romain Duris et la liégeoise Déborah François5.
Historique
En 19851, quelques amateurs de théâtre investissent la salle d’un ancien cinéma du quartier Sainte-Walburge construit en 1928, et aménagent deux salles de spectacle, la grande d’une capacité de 120 places et la petite d’une capacité de plus ou moins 50 places, et une cafétéria pour y faire principalement du théâtre2, des expositions, des ateliers et des stages3.
La compagnie
Composée d’une trentaine de comédiens, la compagnie du Moderne réunit des personnes de tous les âges et de tous les milieux. Elle s’ouvre régulièrement à des comédiens issus d’autres compagnies ou du milieu professionnel3.
La diffusion, les accueils
Musiciens, chanteurs, danseurs et bien sûr comédiens, artistes reconnus par la Fédération Wallonie-Bruxelles, ainsi que de jeunes compagnies cherchant à faire connaître leur travail3.
Les expositions photographiques
Tous les deux mois, la cafétéria du Moderne accueille une exposition de photographie, individuelle ou collective. Sous la houlette de l’association de photographes « Priorité à l’ouverture », partageant ainsi leurs œuvres avec le public du théâtre, mais aussi du quartier3.
Location de matériels festifs (châteaux gonflables, chapiteaux, go-karts, jeux ludiques, popcorn,
La référence latino à Liège 🇧🇪
Commence seul ou en couple 😍
Fitness, Salsa, Bachata & M
Péniche spectacle, espace d’art et d’expression itinérant
Afin de vous inciter à partager notre rêve éveillé, voici une petite projection tout en poésie:
A l’intérieur et tout autour
A l’intérieur : dans l’intimité des cœurs qui battent.
C’est l’hiver : le feu crépite dans le poêle à bois, les flammes se reflètent dans l’eau du fleuve qui arrive juste à fleur des hublots, c’est la tombée de la nuit, entre chien et loup, un cygne passe ; le parfum du potimarron cuisiné aux épices vous titille les narines, agite vos papilles gustatives ; bientôt la cloche sonnera et le spectacle pourra commencer.
Tout autour :
C’est le printemps : Cent tambours et trompettes laissent échapper mille notes par les sabords grands ouverts ; il est temps de sortir du ventre, d’aller danser là-haut sur le pont, sous le soleil de minuit et applaudir les petites poupées de chiffon qui saluent sous les étoiles.
Les Apéros Hutois, c’est le rendez-vous incontournable, ouvert à tous, qui rythme les saisons dans la région hutoise.
Grottes de Remouchamps
Les grottes de Remouchamps, situées en Belgique dans la commune liégeoise d’Aywaille, sont formées de deux galeries se visitant à pied et en barque. Elles sont surnommées la Merveille des Merveilles et sont un des hauts lieux du tourisme en province de Liège et en Wallonie.
Historique
Les grottes de Remouchamps se trouvent sur la limite de trois régions géologiques : le Condroz formé de grès et de calcaire, la Calestienne calcaire et l’Ardenne schisteuse. Les grottes se sont formées dans le calcaire il y a plus d’un million d’années par la présence d’une rivière souterraine, le Rubicon.
Cette petite rivière provient du vallon des Chantoirs entre Louveigné et Deigné où elle s’engouffre sous terre pour ne réapparaître que quelques mètres avant son confluent avec l’Amblève. Le Rubicon a d’abord façonné la galerie supérieure (visite à pied) avant de trouver plus bas une autre voie, la galerie inférieure, où il coule encore aujourd’hui (visite en barque).
Il y a 8 000 ans, les chasseurs du paléolithique ont fréquenté la première salle. L’ensemble des grottes fut découvert en 1828 et ouvert officiellement au public en 1912 (visiteurs équipés de torches). Un éclairage permanent fut installé dès 1924. Pendant la seconde Guerre mondiale, elle servit de refuge aux Remoucastriens.
Visite
Toutes les visites des grottes de Remouchamps sont guidées et en plusieurs langues. Elles durent environ une heure et quart. La température à l’intérieur des grottes varie peu. Elle oscille entre 8 et 10 degrés.
Galerie supérieure (à pied)
On y découvre successivement, au fil d’un circuit long de 1 200 mètres : la galerie du précipice qui est la salle d’entrée, la salle des ruines et son bloc suspendu d’une quarantaine de tonnes, la grande draperie d’une hauteur de 7 mètres formée par l’eau de pluie se transformant en dépôts cristallins, la salle de la Vierge et sa stalagmite évoquant la Vierge Marie portant Jésus, la grande galerie et ses barrages de calcite et enfin la cathédrale, haute de 40 mètres et profonde de 100 mètres.
Galerie inférieure (en barque)
Par l’arche naturelle appelée le pont des Titans, on accède à la rivière du Rubicon où la visite se poursuit en barque à fond plat.
Au milieu du Rubicon, se dresse le palmier, étrange et magnifique colonne d’une stalactite et d’une stalagmite rejointes.
La navigation est tranquille mais le plafond s’abaisse par endroits. Seules de petites crevettes dépigmentées, les niphargus vivent dans cet environnement. Par un ancien siphon agrandi pour permettre le passage des embarcations, on accède au débarcadère au terme d’une navigation souterraine de 600 mètres, soit la plus longue au monde[réf. souhaitée].
À la sortie des grottes, se trouvent un petit musée ainsi que des expositions thématiques.
Anciens thermes de Spa
Les anciens thermes de Spa appelés aussi ancien établissement thermal de Spa ou Bains de Spa sont une construction située dans le centre de la ville de Spa en province de Liège (Belgique). Ils font partie du patrimoine exceptionnel de la Région wallonne depuis le 6 octobre 2016.
Localisation
Les anciens thermes se situent en plein centre de Spa. La façade est visible depuis la rue Royale. Les rues de la Poste, Servais et Léopold entourent le bâtiment.
Historique
Ces thermes sont en réalité les troisièmes construits dans la ville de Spa.
Un premier établissement public de bains avait été érigé en 1828 à l’emplacement de l’actuel hôtel de ville.
En 1841, un deuxième établissement fut construit Place Royale, à l’emplacement de l’ancien hôtel des Tuileries et de l’actuel pavillon de la maison du tourisme situé au bout de la galerie Léopold II, à l’entrée du parc de Sept Heures. Une moyenne de 6 000 bains par an y était donnée.
Sous l’impulsion du bourgmestre Servais, les troisièmes thermes sont inaugurés le 15 août 1868 sur les prairies Lezaack. Il s’agit d’un ensemble hydrothérapique de première classe qui coûta la somme très importante pour l’époque d’1 500 000 de francs belges. Ces thermes accueillirent jusqu’à 167 182 opérations thermales par an (en 1967).
Après 135 années de fonctionnement, ces thermes ferment leurs portes en 2003. Ils sont remplacés par un établissement moderne (les quatrièmes thermes) sur la colline d’Annette et Lubin. Ces nouveaux thermes sont reliés par funiculaire au centre de la ville.
Malgré quelques problèmes dus à la présence de mérule1, les thermes de 1868 devraient être réaffectés en résidence hôtelière de luxe afin de protéger cet immeuble incontournable du thermalisme spadois2 qui se trouve depuis 2014 sur la liste indicative du patrimoine mondial de l’UNESCO parmi les grandes villes d’eaux d’Europe.
Description
Cet imposant bâtiment comprenant deux étages est construit dans un style néo-Renaissance française sur les plans de l’architecte Léon Suys.
À l’origine, cet établissement comptait 52 cabines de bains avec 54 baignoires, 2 salles de grandes douches à forte pression, 2 grandes salles de douches ordinaires et hydrothérapiques avec bassin d’immersion, 2 salles d’hydrothérapie proprement dite, 2 salles pour douches en cercle, douches de siège et pour bains de pieds à eau courante ainsi que 2 plongeons. Par la suite, de nombreuses modifications ont été opérées dans un souci de modernisation de l’établissement.
Charles-Henri Thorelle fut chargé de la taille et de la sculpture des pierres de France. Les statues de la façade et des côtés sont les œuvres de Jacques Van Omberg et des frères Van Den Kerkhove. Le vestibule d’entrée et les salons de repos ont été décorés par le peintre Carpey.
Les façades intérieures (sur cour) et extérieures ainsi que le perron d’accès et le hall d’entrée sont repris sur la liste du patrimoine immobilier classé de Spa et font partie des biens inscrits à la liste du patrimoine immobilier exceptionnel de la Wallonie. Les thermes ne se visitent pas.
Galerie
Oeuvres, profanes et sacrées, chansons populaires françaises et wallonnes, Negro spirituals, chants folkloriques de tous pays, chants contemporains …
Depuis 1998, les stewards de l’a.s.b.l. Liège « Gestion Centre-Ville » sont présents dans les rues de la Cité ardente pour accomplir diverses missions. Ce métier est avant tout un travail de proximité. Ils collaborent régulièrement avec les différents acteurs de la ville (Echevinats, Police, etc.), fournissent une aide précieuse aux commerçants et produisent un sentiment de sécurité par leur présence dans les rues du centre.
Leurs fonctions auprès du public sont d’aider, d’écouter et de renseigner.
INFOS PRATIQUES:
Permanence touristique et Espace d’expositions
La permanence touristique à l’Arvô, est située place Saint-Georges 30 – 4830 Limbourg.
Ouverture: les week-ends et jours fériés de 12h à 17h à partir du 03 avril jusqu’au 26 septembre 2021.
Pour tous renseignements, vous pouvez contacter :
Sandra Huberty, Présidente Syndicat d’Initiative, au 0494/59.55.91
Isabelle Erkens, Service Tourisme de la ville de Limbourg, au 0473/60.60.86
L’espace d’exposition “Espace Arvô” est situé place Saint-Georges 30 (1er étage) – 4830 Limbourg.
Ouverture : du mercredi au vendredi de 14h00 à 18h00
les week-ends et jours fériés de 13h00 à 18h00
Pour tous renseignements, vous pouvez contacter Anne Dedoyard au 0474/64.47.55
Accès
- Un parking pratique se situe Hors-les-Portes, 4830 Limbourg. Une zone de parking est possible dans le Thier de Limbourg
- En voiture – Google maps + possibilité de créer son itinéraire
- En autocar : Autoroute E42– Sortie 6 Verviers-Sud Heusy Stembert – – Suivre Stembert (N625) – Limbourg – Aire d’accueil – Hors les Portes
- En train – Arrêt Dolhain-Gileppe, ligne directe vers Spa et Aachen, correspondance aisée vers Liège et Bruxelles (lien site SNCB)
- En bus – Ligne TEC n°724 et 725 de Verviers ou d’Eupen – Arrêt Dolhain – Place Léon d’Andrimont (lien site TEC)
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