Exposition : « Mode Arts & Styles – 3e édition » à la Galerie d’Art Liège By Culture Liège ASBL
Exposition : « Mode Arts & Styles – 3e édition » à la Galerie d’Art Liège By Culture Liège ASBL

Exposition :
« Mode Arts & Styles – 3e édition »
Exposition
Du 06 au 29 Novembre 2025 du lundi au vendredi de 13h à 18h, le jeudi de 13h à 16h et le samedi de 10h à 18h en présence d’artistes de l’exposition.
Date
Du 06 au 29 Novembre 2025 du lundi au vendredi de 13h à 18h, le jeudi de 13h à 16h et le samedi de 10h à 18h en présence d’artistes de l’exposition.
Lieu à La Galerie d’Art Liège By Culture Liège ASBL
Vous êtes cordialement invité.e à assister au défilé de mode qui se déroulera, lors du vernissage du 8 novembre dans la Galerie Opéra-1er étage, avec un premier passage à 14h et un second à 16h. Vous aurez ainsi l’opportunité de visualiser le résultat du talent de nos stylistes.
Nadia Mohamed alias ADN Street explore la mode contemporaine en mettant l’accent sur la lumière et son effet sur la couleur. Fondée en 2019 par Nadia Mohamed, la marque est une plateforme d’expression personnelle et authentique. Sa première collection, divisée en trois parties, comprend des pièces polyvalentes mêlant streetwear et essentiels de garde-robe. ADN Street prouve qu’il est possible de créer du nouveau à partir de l’ancien. Inspirée par l’architecture bruxelloise, la designer, engagée à offrir une alternative durable su système de mode existant, utilise une palette de couleurs minimaliste. L’avenir de la marque réside dans sa capacité à offrir des pièces de couture personnalisées, en combinant éthique, esthétique et avant-gardiste.
Essia Gammar est formée en Techniques d’Arts Plastiques et Esthétiques ainsi qu’en Histoire de l’Art à l’Institut Royal Supérieur d’Histoire de l’Art et d’Archéologie de Bruxelles. Elle a également étudié dans les Académies des Beaux-Arts d’Ixelles et Watermael-Boitsfort, et a travaillé avec divers artistes. Son œuvre se concentre sur la Haute Couture, en collaboration avec des créateurs de renom tels que Bernard Depoorter, Edouard Vermeulen…Elle transpose l’Art de la Haute Couture dans un défilé de robes sublimées sur toiles, met en scène et magnifie l’élégance de la robe et son mouvement mettant en valeur ses courbes et textures. C’est une ode à la féminité, un rêve de petite fille, la poésie des robes devenant corps.
Anne-Marie Lhoist est une artiste et experte de la transformation tant au niveau de la matière que de l’énergie. Elle est passionnée par la beauté, le toucher et la sensualité. Ses études de dessin d’architecture, de décoration intérieure et de stylisme ont entraîné ses yeux à voir et à aimer l’harmonie des formes, le goût du détail et la simplicité. Aiguillée en permanence par l’irrésistible envie de transformer, sublimer les déchets, les lieux, les énergies pour les rendre utiles et harmonieux. Elle crée sa marque AÏA Créations en 2012 : Amour, Inspiration, Art. Ses créations sont faites avec Amour à partir de déchets de cuir, laine et de textiles : des œuvres que l’on peut toucher.
Hugues Raven est désormais un habitué de notre galerie. Il nous a fait découvrir sa passion pour la photographie qui l’a conduit vers le développement de son style si particulier et reconnaissable, en quelque sorte, sa marque de fabrique « le flou bougé » juste pour le plaisir de partager et, il l’espère, créer une émotion. En parfait autodidacte, il s’est initié à l’aquarelle en participant à divers atelier, il a également suivi des cours de dessin… Pour sa 2ième participation sur le thème « Mode Arts & Styles », il vous présente quelques toiles abstraites avec pour thèmes Karl Lagerfeld et le magazine Vogue. Vogue, dont les anciennes couvertures seront sujettes à des collages papier et tissus.
@Rouge_485 a toujours été passionnée par la couture, commençant par habiller sa sœur, son premier modèle. Après des études en latin-langues et en scénographie aux Beaux-Arts de Liège, elle a lancé sa marque d’accessoires en textiles revalorisés, Rouge_485. Ses collaborations avec l’Opéra Royal de Wallonie et d’autres théâtres lui ont permis d’explorer diverses techniques plastiques. Lors de ses échanges Erasmus, elle a découvert la teinture végétale et les costumes d’opéra à Milan. Pour approfondir ses compétences, elle a ensuite suivi une formation en stylisme et le modélisme à la Haute École Francisco Ferrer de Bruxelles, axée sur des recherches vestimentaires éco responsables.
Amajo, ou une histoire de famille qui a débuté en 1987 avec Marie-José, passionnée par l’art et l’artisanat. Des ponchos au pergamano, en passant par les émaux, la dentelle…elle a testé une multitude d’activités manuelles, pour arriver à son passe-temps favori : les bijoux ! Sa petite-fille Rachel était enchantée de l’accompagner sur les marchés artisanaux. Ensemble, elles confectionnaient des bijoux en perles de rocailles, une activité qui a marqué son enfance. En hommage à sa Mamy, elle reprend la confection de bijoux et crée des pièces en acier, Fimo, perles rocaille, sous le nom d’Amajo. Cette marque est un souvenir vivant de leur complicité et de la passion transmise à travers les générations.
FanFan-Taisie, depuis sa plus tendre enfance, elle a été attirée par les travaux de tricots et de crochets que réalisait sa maman, elle passait des heures à la regarder manier ses aiguilles et à admirer sa dextérité. C’est donc, grâce et avec elle, que l’envie d’apprendre lui est venue et, au fil des années, c’est devenu son passe-temps favori. Lorsqu’elle a réalisé ses toutes premières réalisations, elle les a partagées avec son fils, qui après les avoir vues, l’a encouragée à exposer avec lui. Elle touche un peu à tout, que ce soit du crochet ou du macramé; ses réalisations sont multiples et très diversifiées: des attrape-rêves, des vêtements, des couvertures personnalisées, des sacs, des bijoux…
Alexia Hendricks alias Sweet Little Colors a étudié l’illustration à l’Académie Royale des Beaux-Arts de Liège, où elle a développé une passion pour les univers fantastiques. Puis, elle a suivi une formation en graphisme au CEPEGRA, enrichissant ainsi ses compétences créatives.
Les couleurs vibrantes sont au cœur de sa démarche artistique, reflétant son amour pour les teintes joyeuses et pétillantes. Explorant également de nouvelles techniques comme la composition de petites sculptures en pâte Fimo qui représentent des animaux et des personnages imaginaires. Chaque pièce invite à découvrir un monde coloré et chaleureux, elle espère éveiller un brin de magie chez ceux qui contempleront ses créations.

Creacaps est, depuis quelques années, une créatrice d’articles mode qu’elle réalise à partir de capsules de canettes… technique originaire du Brésil. Ne se contentant pas d’un seul créneau, elle s’est mise à la peinture mais aussi à la céramique pour laisser libre cours à son inspiration en ajoutant ainsi des cordes supplémentaires à son arc. Elle expérimente le Modeling art et se rend compte que toucher et modeler des matières lui plaisent vraiment beaucoup car cela rejoint ses autres créations… Elle poursuit encore son évolution en customisant des vêtements, ce qui permet à cette artiste multi-facettes de participer à cette exposition sur la mode avec sa mosaïque de nouvelles influences.
Celia Milunelle, passionnée de couture depuis longtemps, elle a souvent imaginé et réalisé des robes pour ses filles. Régente littéraire et titulaire d’un master en ressources humaines, elle a longtemps travaillé comme salariée. L’idée de la marque Célia Milunelle est née lorsqu’un jour son mari l’a surprise en essayant sa première culotte menstruelle. Ne trouvant pas de modèle à la fois fonctionnel et esthétique en boutique, elle a décidé de créer le sien. Cela a marqué le début d’une aventure créative comprenant croquis, patrons, choix de tissus les plus écologiques possible… ainsi que les nombreux tests de prototypes (coupe, absorption…), réalisation de tous ses modèles pour donner vie à ce projet.
Elondo Adoka, artiste originaire de Guinée équatoriale, a d’abord exercé comme préparateur physique. Après une opération du cœur, il se forme au patronage à Barcelone et redécouvre, pendant le confinement, une pratique sculpturale inspirée des N’gwé, figures de son héritage culturel. À la tombée du jour, il crée des poupées en tissus africains et cauris, sans esquisse préalable, considérées comme des figures-mémoires. Il a exposé ses œuvres à la Galerie Elda Mazer (Paris en 2021 et à la Galerie Colibantan (Barcelone en 2022. Ses poupées et broches N’gwé sont régulièrement présentes dans les défilés d’Adina Couture. De plus, une création de l’exposition WAX a été montrée aux Galeries Lafayette, avec une broche de l’artiste.
G
raomiste découvre sa passion pour la photographie dès l’adolescence, en observant le monde avec son appareil. À vingt ans, elle commence des études de photographie à Saint-Luc Liège, explorant divers genres comme le studio, le reportage et la photographie d’auteur. Cependant, c’est dans la mode qu’elle trouve son véritable espace d’expression. Elle cherche à capturer la singularité de chaque individu, mettant en avant l’essence des personnalités plutôt que d’imposer un style figé. Son travail reflète une quête d’équilibre entre esthétique et authenticité. Ambitieuse, elle continue d’apprendre et d’expérimenter, souhaitant laisser sa marque dans la photographie de mode. Son approche témoigne de sa vision artistique unique.
Waxkundadesign a décidé de se lancer dans le marché du prêt-à-porter en innovant, il a choisi un style de tissu qui sort de l’ordinaire et qui tend à se démocratiser dans le milieu de la mode en travaillant avec le « Wax ». Le processus créatif des vêtements est fait par le créateur de la marque, il fait le sourcing en partenariat avec ses fournisseurs de tissus, le patronage des vêtements en atelier, la confection est produite localement en atelier et dans des confections éthiques françaises. La société recycle ses rebuts de tissus, tout est trié et retravaillé pour en faire des accessoires de mode (Sacs, Headband…). Devises : «Quand la création rencontre le Wax éthique», «Seul on va plus vite, ensemble on va plus loin».
Florence Weber, diplômée en stylisme-modélisme en 2021, a découvert la puissance émotionnelle qu’une création peut éveiller, cette magie qui convertit une idée ou un sentiment en une forme tangible. Son parcours s’est enrichi d’expériences dans l’univers du mariage, notamment avec Ann Piron et sa mentor Caroline Bourguignon, qui lui a appris l’amour du travail bien fait. Chaque pièce est conçue pour révéler la personnalité de la femme qui la porte et mettre en valeur sa lumière intérieure. Elle croit fermement qu’un vêtement peut transformer non seulement l’apparence, mais aussi la posture et l’énergie d’une personne; une robe représente une renaissance de soi et une célébration de la féminité sous toutes ses formes.
Lueur Obscure, Liégeoise, autodidacte en dessin jusqu’en 2019, découvre les cours de peinture à l’huile de Pauline Dubisy, un vrai coup de cœur suivi d’une révélation avec le stage “peinture d’après sculpture”. Elle vient dans cette exposition avec une vision diversifiée de la mode à travers le temps, amenant une atmosphère retranscrite par le bais d’objets, d’accessoires, de tenues, de portraits. Autant de manière de faire parler une époque par son travail. En 2023, elle se tourne vers l’art abstrait à l’acrylique, suivant un cours avec Flore Boniver, un style qu’elle adore intégrer dans ses œuvres (tableaux, figurines…). Elle a donc plusieurs facettes à partager dans un esprit lui aussi diversifié oscillant entre clair-obscur, réalisme ou abstraction qu’elle aime particulièrement explorer et partage volontiers avec vous.
Tine Makowski, née à Hasselt, est une photographe belge, étudiante à la LUCA School of Arts C-mine de Genk, pour se spécialiser en photographie d’arts visuels. Son travail, imprégné d’une curiosité pour les émotions humaines, explore la relation entre le visible et le caché, cherchant à raconter des histoires personnelles et universelles à travers une approche expérimentale, en combinant diverses techniques visuelles. Elle vise à capturer non seulement les apparences, mais aussi l’essence de ses sujets, les instants entre le visible et l’invisible, en utilisant son travail pour créer de nouvelles significations, explorer les limites de la photographie et inciter le spectateur à regarder au-delà de la surface de l’image.
Le Collectif LE SERTI est, une association de FAIT, dont les locaux sont situés rue des Frènes 17, Fexhe-le-Haut-Clocher. L’association sera représentée notamment par Martine Dumoulin, Jacqueline Brandt et Nicole Gosset ainsi que d’autres membres du collectif qui seront présents lors de l’exposition de ce mois de novembre dont le thème est « la mode ». Le SERTI est un atelier créatif de peinture sur soie, utilisant de nombreuses techniques différentes basées sur l’imagination, l’inventivité … Le procédé du serti : la pièce de soie est montée sur un cadre, le dessin fait à main levée ou par calque, est ensuite délimité par de la gutta qui empêche la peinture ultérieurement appliquée de « se diffuser » hors des limites du dessin.
Bo Geerts, est une photographe qui mêle esthétique onirique et émotions profondes. Son travail explore les thèmes de la féminité, de l’identité et de la relation entre l’humain, la nature et l’animal, révélant souvent la force tranquille qui les unit. Actuellement, étudiante en photographie à la LUCA School of Arts à Genk, son travail est ancré dans l’émotion et l’introspection, transformant des expériences personnelles en récits visuels intimes et universels. À travers une palette colorée, elle interroge l’existence et l’appartenance à son corps et à son environnement. Bo invite ainsi les spectateurs à réfléchir et à ressentir au-delà de la surface. Son art incite à la contemplation et à la connexion.
Adina Ntankeu alias Adina Couture est styliste créatrice, malvoyante et atteinte d’albinisme. Grâce à sa machine à coudre adaptée à son handicap, elle réalise des créations uniques en utilisant diverses matières comme le jean, le cuir, la laine, le polaire… Les pièces qu’elles créent sont atypiques et imprégnées par sa double culture afro-occidentale; la mode est pour elle une passion qui lui permet de s’exprimer par le biais de son style et de s’engager dans une recherche constante d’innovation. Elle dédie son travail à ses trois enfants et à la communauté touchée par l’albinisme, souvent maltraitée et rejetée. Son objectif: à travers ses créations, elle souhaite sensibiliser et montrer que ces personnes méritent amour et soutien.
– Possibilité de réserver un menu à la Cafet’Opera pour midi ou le jour du vernissage au 0472/81.63.25.
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